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« C’était que dalle » : Benjamin Castaldi révèle son salaire pour présenter Loft Story
Dans une interview accordée à Closer vendredi 2 avril, Benjamin Castaldi revient sur ses débuts aux commandes de l’émission de télé-réalité Loft Story. L’animateur révèle qu’il ne touchait pas un salaire à la hauteur de la popularité du programme.
Benjamin Castaldi
En 2001, une toute nouvelle émission proposée par M6 épate les téléspectateurs français. Loft Story débarque sur les écrans de l’Hexagone et éclate tous les scores d’audience, alors que la télé-réalité fait seulement ses premiers pas dans notre pays. Aux commandes du show qui révèle Loana notamment, un jeune animateur encore peu connu du grand public : Benjamin Castaldi. Grâce au succès du Loft, il deviendra l’un des animateurs les plus populaires des années 2000, lui offrant l’occasion de revenir chez TF1 quelques années plus tard pour prendre les commandes de Secret Story, l’autre grand succès de la télé-réalité. Pourtant, le mari d’Aurore Aléman estime qu’on ne lui offrait pas la rémunération qu’il méritait.
Le grand écart financier
Dans une interview accordée à nos confrères de Closer, où il évoque notamment son grand projet pour l’année prochaine avec son épouse, le chroniqueur de Touche pas à mon poste revient sur cette époque sur M6. « Sur le premier Loft, j’ai gagné l’équivalent de 45.000 euros » explique-t-il. Quand on sait que l’émission rassemblait parfois plus de 7 millions de téléspectateurs, il y a de quoi être frustré. « C’est beaucoup d’argent, certes, mais vu la puissance du programme, c’était que dalle. Pour vous donner une idée, c’est ce que j’ai ensuite gagné sur TF1, mais par prime time » ajoute Benjamin Castaldi, qui a acquis un tout autre statut lors de son passage sur TF1. Un statut et une rémunération qu’il n’aurait pas obtenu, de son propre aveu, sans l’immense succès du Loft : « Sans le Loft, j’aurais pu continuer des années sans trouver le support qui me catapulte enfin. Là, j’ai eu la chance de présenter un format hors normes, d’être en direct au quotidien, sept jours sur sept, avec un prime time chaque semaine pendant trois mois ! C’est comme si j’avais gagné dix ans de télévision » conclut l’animateur.
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