"C’est n’importe quoi, désolée", Pamela Anderson accorde une interview à "Sept à Huit" et interrompt la femme de Thierry Ardisson !

Interrogée par Audrey-Crespo Mara dans le cadre du prochain "portrait de la semaine" pour l’émission "Sept à Huit" qui sera diffusé dimanche 11 juin 2023, Pamela Anderson s’est confiée en toute transparence sur la violence conjugale qu’elle avait subie.

Depuis qu’elle a écrit ses mémoires pour raconter son histoire avec ses propres mots, Pamela Anderson est comme libérée. Et pour cause, dans « Love, Pamela », son autobiographie sortie le 31 janvier 2023, la star américaine est revenue sur les moments les plus marquants de son histoire sans pour autant édulcorer les heures passage sombre de son existence… Et pour cause, dans ce livre, l’ex-compagne d’Adil Rami relate aussi bien l’ambiance familiale toxique dans lequel elle a grandi que la violence conjugale qu’elle a subie lorsqu’elle était mariée à Tommy Lee.

Des périodes difficiles dont elle a parlé à Audrey-Crespo Mara. « Portrait de la semaine » de l’émission « Sept à Huit » qui sera diffusé dimanche 11 juin prochain sur TF1, Pamela Anderson n’a imposé aucune limite à la journaliste. « Il n’y a pas eu de contrainte. Elle a répondu très directement aux questions », a d’ailleurs assuré Audrey Crespo-Mara à 20 Minutes. Et effectivement, dans l’extrait que la première chaîne à dévoiler via Twitter, Pamela Anderson répond en toute transparence aux questions personnelles comme celle sur ces nombreux mariages.

« J’ai été mariée à quatre hommes, mais j’en ai épousé une deux fois : une fois sobre et une fois ivre… C’était n’importe quoi désolée», déclare-t-elle gênée. «Mais là, je n’essaie plus de remplir frénétiquement un espace qui ne pourra plus jamais être comblé parce que je me sens bien toute seule et ça ne m’était jamais arrivé auparavant… Il aura fallu 30 ans ! », a-t-elle confié au cours de son interview.

Audrey-Crespo Mara a alors interrogé la belle blonde au sujet de son mariage avec Tommy Lee, le père de ses enfants. Un homme dont elle a divorcé avant porter plainte pour violences conjugales. Un recours à la justice qui a porté ses fruits puisque l’homme a été condamné à six mois de prison.

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« J’étais détruite »

« Oui, mon premier mariage a été l’amour de ma vie et j’ai eu deux fils magnifiques. Oui ça c’est mal terminé. La chose la plus difficile au monde est de quitter quelqu’un que l’on aime, même s’il y a des violences physiques. Mais vous ne pouvez pas laisser vos enfants voir cela et penser que c’est normal. C’était aussi un grand sacrifice pour moi parce que j’aimais tellement Tommy, mais je ne pouvais plus accepter toutes ces violences et faire subir à mes enfants tout ce que j’avais vécu. Donc j’ai dit non, j’étais détruite parce que je ne pouvais plus me sentir en sécurité avec la personne que j’aimais le plus », a-t-elle confié.

Et de conclure sur l’importance de ne pas reproduire le même schéma familial : « J’ai choisi mes enfants. Elle (sa mère, N.D.L.R.), elle a choisi mon père. »

L.Z.

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