« Ça me colle à la peau » : Cécilia Cara lassée des références à Roméo et Juliette ?

Connue pour avoir eu le rôle principal de la comédie musicale Roméo et Juliette, Cécilia Cara a essayé de se démarquer de cette étiquette. Mais cette tentative a longtemps été vouée à l’échec, comme elle le consent à nos confrères de Télé-Loisirs.

Cécilia Cara

En 1999, Cécilia Cara était propulsée sur le devant de l’affiche grâce à la comédie musicale Roméo et Juliette. En y incarnant l’un des deux rôles principaux dans ce spectacle, la graine de star, et son partenaire Damien Sargue, sont montés tout en haut, portés par l’affection de tout un public, cueilli par la voix chatoyante de la Cannoise ainsi que par sa sensibilité. La suite de sa carrière fut malheureusement en deçà des espérances de ses fans, même si la pétillante azuréenne a participé à d’autres jolis projets artistiques, comme Grease, mais aussi à des aventures sur le petit écran dans Camping Paradis, Nina ou encore Joséphine Ange Gardien. A 36 ans, c’est en musique et bien dénudée que la jeune maman revient dans la lumière, avec l’album Paris-Bogota, disponible depuis le vendredi 21 mai et ode aux mélodies latines. Soit, un virage à 360 degrés qui devrait lui permettre de sortir de la case dans laquelle beaucoup continuent de l’enfermer.

« Ce n’est pas un traumatisme »

Cécilia Cara estime que cette image de chanteuse de comédies musicales a quelque peu freiné sa carrière. Même si elle est loin de cracher dans la soupe qui l’a bien fait grandir. « Aujourd’hui, on me parle encore beaucoup de Roméo et Juliette, ce qui ne me dérange absolument pas car ça fait partie de ce que je suis. Je sais que c’est un projet qui a marqué beaucoup de personnes, je le vois encore dans les messages que je reçois du monde entier« , a-t-elle confié à nos confrères de Télé-Loisirs. Pour autant, l’ex-compagne d’Arthur Jugnot ne serait pas contre le fait de se débarrasser de cette étiquette, aussi adhérente qu’une moule à son rocher. « Ça me colle à la peau mais ça ne m’a pas empêchée de faire d’autres choses très différentes. Mais peut-être en effet qu’il a fallu plus de temps pour que je puisse arriver avec mon propre univers et trouver la liberté de pouvoir le faire ! », reconnait-elle. « Oui, on peut être catalogué mais je n’en ai pas souffert. Ce n’est pas un traumatisme ». A tel point que l’inoubliable Juliette n’écarte pas l’idée de revenir à ses premiers amours.

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