« Ça blesse mes proches » : les confidences de Vianney sur ses débuts critiqués dans The Voice

Dans une interview accordée à Psychologies, Vianney s’est confié sur ses débuts dans l’émission The Voice, et notamment sur l’un des inconvénients qui vont avec la visibilité apportée par le programme : « Des déferlements de haine sur Twitter ».

Vianney

Si Amel Bent, Florent Pagny et Marc Lavoine étaient déjà bien installés dans les fauteuils rouges, Vianney, nouveau coach de The Voice, a dû trouver sa place. Et cela n’a pas été facile pour le nouveau juré. Dès ses premières apparitions dans l’émission, il a été vivement critiqué par les internautes, pour ses choix de candidats, pour ses remarques aux participants, et même pour sa façon de se tenir sur son fauteuil. Il faut dire que Vianney ne s’assied (presque) jamais, il se perche sur un accoudoir ou il s’accroupit sur l’assise (entre autres positions farfelues). Face aux nombreux messages sur les réseaux sociaux, Vianney a même été obligé de s’expliquer. « J’ai trouvé ça dingue de voir autant de réactions et pour être honnête je ne sais pas trop quoi dire sur le sujet. À part que malheureusement, je suis comme ça », a-t-il indiqué à Télé-Loisirs, ajoutant : « Je sais très bien ce que ça veut dire de moi. J’ai ça depuis tout petit, je traîne ça depuis l’école primaire, je n’aime pas rester assis trop longtemps. C’est comme ça. J’aime bien bouger. Dans la vie pareil. C’est de l’hyperactivité. Rien d’autre ».

« Je peux tenir »

Dans une interview accordée au magazine Psychologies, Vianney s’est confié sur les haters et les messages haineux. « Depuis que j’ai rejoint le jury de The Voice, j’ai droit à des déferlements de haine sur Twitter« , a-t-il avoué, ajoutant : « Je n’ai jamais prêté attention aux vents contraires, et en cas de coup dur, je sais que je peux tenir. » Mais s’il reste « serein et heureux » malgré les critiques, ses proches, eux, n’ont pas son détachement. « Ça blesse mes proches, mon équipe. Moi pas, a-t-il poursuivi. J’ai décidé que je n’en avais rien à faire. C’est comme si la vie me glissait dessus : j’ai du mal à me rappeler de moments où je n’étais pas bien. Ou alors, ils n’ont pas duré : quand quelque chose ne va pas, je change de cap. Je me suis toujours donné cette liberté : dire stop, penser à moi, réorienter. » Et toujours, il reste à flot.

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