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"Brushing à la Fox News", "paupières lourdes de maquillage" : Sonia Mabrouk répond avec classe aux scuds de Libération, dans TPMP !
Ce 28 avril, Cyril Hanouna a reçu Sonia Mabrouk, qui a récemment fait l’objet d’un portrait controversé dans les colonnes de Libération.
Le 26 avril dernier, l’animatrice de CNews et Europe 1Sonia Mabrouk a fait l’objet d’un portrait à charge, publié par Libération. Celle qui est surnommée la « directrice de la réaction » y est notamment critiquée pour son « brushing à la Fox News au vent », et ses « paupières lourdes de maquillage et de sommeil à l’heure de la sieste après une matinée en direct et une nuit sur Netflix ».
« Je ne voudrais pas me victimiser »
Dans le fond, le journal de gauche lui reproche d’être « l’égérie de la droitosphère », et assure qu’elle est « fille de la bourgeoisie tunisienne« . Une description sexiste et par moment raciste, qui a fait beaucoup réagir sur le Toile et dans les médias. C’est ainsi que l’animatrice a fait le tour des plateaux du groupe Canal, ces derniers jours. Et après un petit tour chez son collègue Pascal Praud, elle était chez Cyril Hanouna, dans TPMP, ce 29 avril.
Sur C8, elle a expliqué qu’elle n’avait pas été blessée par ces descriptions. Elle a commenté : « Je ne voudrais pas me victimiser, ce serait trop facile et le discours est tellement porté ici sur ce plateau que je ne le ferai pas, parce que je trouve que ce n’est pas ma nature ».
A propos de ce papier publié avec son accord dans les colonnes de Libération, Sonia Mabrouk estime toutefois : « J’ai joué le jeu parce que quand Libération m’a proposé ce portrait (….) moi c’est ça qui m’intéressait, c’est de pouvoir enfin avoir quelqu’un qui est vraiment contre les idées de manière substantielle et de pouvoir avoir cet avis là« .
Une attaque trop superficielle
« Malheureusement« , dit-elle, son adversaire idéologique est surtout resté superficiel, en l’attaquant. Et c’est bien le problème. Sonia Mabrouk déplore en effet : « ce que je reproche à ce portrait, c’est surtout qu’on n’est pas allé au fond des sujets« .
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