Brigitte Macron en guerre contre les jeux vidéos : “Fortnite c’est terrible”

Mercredi 3 février 2021, Brigitte Macron s’est rendue au sein de la Maison des Adolescents de Blois pour échanger avec les jeunes sur les problèmes auxquels ils sont confrontés pendant la crise sanitaire. La Première dame a notamment pointé du doigt la mauvaise influence présumée des jeux vidéos sur le bien-être des adolescents.

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Depuis le début de la crise sanitaire, les jeunes sont impactés par les restrictions imposées par le gouvernement pour tenter d’endiguer la pandémie de coronavirus. Ainsi, les membres de l’exécutif se rendent à diverses occasions dans les lieux fréquentés par les jeunes Français pour échanger avec eux et tenter de trouver des moyens d’améliorer leur quotidien chamboulé. Si Jean-Michel Blanquer avait plaidé pour les bienfaits de 30 minutes de sport quotidien pour les écoliers en s’adonnant à une séance de sport, Brigitte Macron a quant à elle souligné les effets qu’elle présume néfastes des jeux vidéos sur la qualité de vie des jeunes.

Mercredi 3 février, l’épouse d’Emmanuel Macron s’est rendue au sein de la Maison des Adolescents de Blois pour s’entretenir avec certains jeunes. La marraine des Pièces jaunes, opération qui finance cet établissement, a alors averti son auditoire des dangers des jeux vidéos, auxquels les jeunes peuvent être accros, surtout en cette période d’incertitude et d’inactivité. « Fortnite c’est terrible… Quand ils sont sur des jeux comme ça, comment faire pour qu’ils arrêtent ? », a-t-elle déploré, elle-même mère et grand-mère.

Un sujet qui lui tient à cœur

L’addiction aux jeux vidéos, sujet qui était d’ailleurs traité dans une petite démonstration d’une pièce de théâtre proposée aux jeunes lors du passage de Brigitte Macron. Une initiative saluée par la Première dame, comme relaté par La Nouvelle République. « Ça fonctionne très bien ce que vous faites là, c’est très interactif », a-t-elle complimenté les comédiens présents ce jour-là. Une façon pour elle de réaffirmer alors son engagement auprès des adolescents parfois abattus par ce contexte sanitaire inédit : « Il faut être particulièrement attentif à eux en ce moment. L’adolescence est déjà un âge qui n’est pas simple… Avec cette crise, c’est encore plus compliqué. L’adolescence est un passage compliqué. À nous, adultes de faire le geste. On sait que ces lieux fonctionnement. Avec la Fondation, nous aidons à les multiplier ».

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