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« Bambou s’occupait de moi » : les tendres souvenirs de Charlotte Gainsbourg dans la maison de son père rue de Verneuil
Charlotte Gainsbourg chérit plus que tout le souvenir de son père. Raison pour laquelle l’actrice de 49 ans a accepté de se livrer ce samedi 3 avril sur ces week-ends avec lui et sa dernière femme Bambou dans un portrait abécédaire du magazine Marie-Claire.
Charlotte Gainsbourg
Serge Gainsbourg
Charlotte Gainsbourg garde un tendre souvenir de la maison de son père à rue Verneuil. Raison pour laquelle la fille de Jane Birkin prévoit d’ouvrir les portes de la maison de son père, Serge Gainsbourg, dès la rentrée si les conditions sanitaires le permettent. Dans Les Inrockuptibles, elle avouait récemment concernant ce lieu : « On réfléchit encore au nom, entre Maison Serge Gainsbourg ou l’Hôtel particulier, en résonance avec sa chanson. Tout est resté en l’état. La maison paraît encore habitée. C’est comme s’il venait de passer la porte ».
Cette maison c’est donc la définition du bonheur pour l’actrice de 49 ans qui l’évoque avec amour dans un portrait abécédaire du magazine Marie-Claire. À la dernière lettre Z de l’alphabet, elle associe Zan qui sont des bonbons que son père lui donnait dans cette fameuse batisse. « J’ai des souvenirs précieux de ces week-ends. Mon père remplissait une jarre de bonbons, c’était un moyen de me dire bienvenue. On choisissait un film qu’on regardait sur son grand écran, on mangeait ces bonbons. », a-t-elle expliqué.
Un passé que l’actrice ne veut pas lâcher
Mais c’est un tout qui fait le charme de ce lieu pour la comédienne. Au détour de la conversation, c’est Bambou, la dernière femme de son père qui lui vient à l’esprit. Caroline Von Paulus, de son vrai nom y a vécu et est donc l’une des raisons pour laquelle la mère de famille a de « souvenirs précieux de ces week-ends. » « Les bonbons de mon enfance; Je n’aimais pas le Zan plus que ça, mais cela me rappelle l’époque où j’allais seule rue de Verneuil, quand mes parents étaient séparés. J’étais très choyée, Bambou s’occupait de moi.« , a-t-elle raconté.
Le souvenir précieux de sa belle-mère qui était vraiment une deuxième maman fait donc partie de ce qui a rendu son enfance heureuse . « Je reste très tournée vers cette vie d’enfant heureuse, un passé que je ne veux pas lâcher ». avouera-t-elle.
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