Audrey Fleurot : cette réflexion au sujet de son fils qu’elle ne supporte plus d’entendre

Audrey Fleurot est la star de HPI, la nouvelle série de TF1 diffusée dès ce 29 avril. Comme son personnage, l’actrice de 43 ans est maman, ce qui ne l’empêche pas de garder son indépendance tout en étant une bonne mère. Ce qui n’est pas de l’avis de tout le monde.

Audrey Fleurot

Depuis qu’elle est apparue dans Intouchables, film primé dans le monde entier, on arrête plus Audrey Fleurot. La comédienne de 43 ans s’est progressivement imposée sur les écrans, du grand au petit. Ce jeudi 29 avril, les téléspectateurs la découvriront dans un tout nouveau rôle qui lui colle à la peau. Celui de Morgane, héroïne de la série policière HPI, mère au sacré caractère qui se révèle être un atout surpuissant pour résoudre des enquêtes : « D’habitude, je vais vers le personnage. Pour une fois, je l’ai ramené à ce que je suis… C’est une version de moi moins policée. […] Le duo de comédie que je forme avec Mehdi Nebbou détonne : il joue le policier psychorigide, et moi, l’adulescente ! C’est moderne, original, et ça me correspond plus », déclare-t-elle à Paris Match. Si elle a de nombreux points communs avec la nouvelle héroïne qu’elle incarne, le plus impactant reste celui de la maternité. Comme Morgane, Audrey Fleurot est maman d’un petit garçon prénommé Lou, fruit de ses amours avec le réalisateur Djibril Glissant.

A chacun sa méthode

Folle d’amour pour son fils, Audrey Fleurot n’a rien d’une mère conventionnelle qui dit oui à tous les désirs de sa progéniture. Son but ? Faire de lui un homme indépendant et le laisser développer sa créativité : « Je ne force pas mon fils à suivre des cours d’anglais ou de piano. J’ai envie qu’il prenne son temps, indique-t-elle. Ce qui est certain, c’est qu’il saura laver son linge et se faire à manger seul ».

A chacun sa manière de gérer ses enfants. Et en la matière, Audrey Fleurot sait ce qu’elle veut. Même si certaines femmes ne se gênent pas pour lui faire des remarques pas forcément agréables. S’il y en a qu’elle ne peut plus supporter, ce sont celles au sujet de la culpabilité : « Parce que son père l’emmène plus souvent à l’école, le moindre souci en classe est attribué au fait que je dois manquer à mon fils… Alors qu’avec lui, je parle très ouvertement de mon travail. Il n’y a rien qui dit que la maman doit être à la maison ». Et elle a bien raison.

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