"Arrêter de faire n’importe quoi", proche du gouvernement, l’animateur star de France 2, Stéphane Bern pousse un énorme coup de gueule aujourd’hui !

Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche le week-end dernier, l’animateur Stéphane Bern a souhaite faire une mise au point. Notamment au sujet de certaines églises qui seraient, selon lui, laissées à l’abandon. Il a appelé le gouvernement à réagir.

D’ordinaire discret, Stéphane Bern est monté dans les tours le week-end. La raison ? Les églises laissées à l’abandon dans les petites communes. Des petites communes qui n’auraient pas les moyens de les rénover selon lui. De fait, l’animateur vedette de France 2 a demandé au gouvernement de réagir dans un entretien accordé au Journal du Dimanche ce week-end.

« La France compte 45.000 édifices religieux dont 75 % se trouvent dans des communes de moins de 3 000 habitants », rappelle dans un premier temps le compagnon de Yori. Or, selon lui, « les petites communes n’ont plus les moyens de les entretenir ». En effet, d’après Stéphane Bern, restaurer une église, coûterait « 1,5 million d’euros ». « Une petite commune ne peut pas y faire face » a-t-il regretté. De fait, avec la Fondation du patrimoine, l’animateur de « Secrets d’histoire » a pris une décision. Ou plutôt, s’est lancé dans un projet.

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Stéphane Bern en colère, il demande au gouvernement de réagir

« Nous plaidons pour la création d’un fond de sauvegarde du patrimoine religieux. Nous y travaillons, avec un consortium de mécènes. Presque malgré moi, je suis devenu le réceptacle de cette colère de gens qui me demandent de secourir des églises dont personne ne s’occupe. Je reçois une vingtaine d’appels en ce sens par semaine », a-t-il révélé.

Celui qui s’est pris de passion pour TikTok annonce également vouloir lancer une « police du patrimoine ». L’objectif ? Permettre, « d’arrêter de faire n’importe quoi en matière de restauration : dans une commune classée, on a parfois un architecte des bâtiments de France qui va autoriser des fenêtres en PVC ». En espérant que les souhaits de Stéphane Bern soient entendus et surtout, soient réalisables.

R.F

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