Anouckha fait une révélation fracassante sur l’héritage d’Alain Delon : "Si j’ai rien, je leur foutrai un procès !"

Invitée du "Portrait de la Semaine" d’Audrey Crespo-Mara dans "Sept à Huit" ce dimanche 8 octobre 2023, Anouchka Delon, fille d’Alain Delon, est revenue sur un évènement traumatisant survenu après l’AVC de son père.

C’est une bien sombre affaire qui secoue le clan Delon. Le 5 juillet dernier, Anouchka, Anthony et Alain-Fabien ont déposé plainte contre Hiromi Rollin, la dame de compagnie d’Alain Delon, pour des accusations de « harcèlement moral » et de « détournement de correspondances ». Par ailleurs, l’aîné de la légende du cinéma a ajouté des accusations supplémentaires à l’encontre de la sexagénaire, incluant « violences volontaires sur personne vulnérable », « abus de faiblesse », « séquestration de personne vulnérable » et « violences envers un animal ». Invitée du « Portrait de la Semaine » d’Audrey Crespo-Mara dans Sept à Huit ce dimanche 8 octobre 2023, la fille du monstre sacré du cinéma est revenue sur cette histoire.

Interrogée par la journaliste, l’actrice franco-néerlandaise de 32 ans a notamment évoqué un épisode particulièrement troublant survenu après l’AVC de son paternel. « On n’a pas été assez vigilants », a-t-elle estimé avant d’ajouter : « C’est quelqu’un qui n’était pas du tout présent dans sa vie avant l’AVC. Et moi, il y a quelque chose qui m’a vraiment choquée. »

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Une scène choquante

« Quand il se faisait opérer, il y avait moi, il y avait Nathalie Delon, il y avait Anthony, il y avait Alain-Fabien, il y avait même mes nièces. On était là en famille. C’est nous la famille. Et elle appelait le garde du corps pour dire : ‘Je veux venir voir Alain’. Il disait : ‘Mais non, vous ne pouvez pas venir’. Enfin vous voyez on n’a rien contre elle, c’est juste que pour nous c’était une dame qui travaillait à la campagne. […] On a dit : ‘Non, là, c’est la famille, vous viendrez en temps voulu’. Donc c’est pour vous dire à quel point nous, dans notre tête, ce n’était pas sa compagne. »

Et de poursuivre : « Quand elle est arrivée à la clinique, il était en réanimation. Ça faisait 24 heures qu’il était remonté du bloc. J’étais avec mon père à son chevet. Elle prend Julien, mon mari, à part. Elle commence à dire : ‘Oui, moi, ce n’est pas possible. Comment je vais faire s’il lui arrive quelque chose ? Je n’ai rien. Je ne travaille pas, je n’ai pas d’argent, c’est lui qui me fait vivre, comment je vais faire ? S’il ne me donne rien et si les enfants ne me donnent rien, je leur foutrai un procès’. Vous parlez comme ça vous de votre « compagnon » qui est entre la vie et la mort ? » Un témoignage choc.

V.B

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