Anne Sinclair : sa tendre déclaration d’amour à son compagnon qui lui a « sauvé la vie »

Anne Sinclair s’est confiée comme jamais dans un entretien accordé au magazine Elle. La journaliste a notamment expliqué comment elle s’est reconstruit après l’affaire DSK aux côtés de son amoureux Pierre Nora.

Anne Sinclair

Dominique Strauss-Kahn

Elégante, courageuse, conciliante… Les qualificatifs n’ont pas manqué au moment de commenter l’attitude d’Anne Sinclair à la sortie du scandale du Sofitel. Si la journaliste n’a jamais souhaité revenir sur cet épisode, la sortie de son livre Passé composé a été synonyme d’exutoire pour celle qui a toujours soutenu son mari Dominique Strauss-Kahn dans la tempête. Et l’occasion de se livrer sur son ressenti concernant le séisme qui a dévasté sa vie. « J’étais dans la bataille, je pensais juste à sauter barrière après barrière. Et je n’avais pas de raison de ne pas le croire. Je pense que j’ai compté pour lui, mais j’étais au bout. Nous n’avons jamais eu d’explication de fond », a confié la présentatrice de 7 sur 7 à nos confrères, affirmant ne pas être au courant des agissements de son époux. La reconstruction après une telle affaire n’a pas été des plus simples.

« Suffisamment de joie de vivre pour avoir une belle et vraie histoire »

Heureusement, Anne Sinclair a pu s’appuyer sur des piliers essentiels : le travail, l’écriture et la famille. Mais sa rencontre avec l’historien français Pierre Nora n’a également pas été vaine dans sa tentative de reprendre une vie normale. « Pierre m’a sauvé la vie. Il avait vécu un deuil lui aussi, on aurait pu se consoler ensemble, faire une fin comme on dit, et bien ça n’a pas été ça. On a eu suffisamment de joie de vivre, d’envie de vivre pour avoir une belle et vraie histoire« , se réjouit-elle aujourd’hui, « plus sereine et plus vivante que jamais ». Ce sombre chapitre est désormais derrière elle et l’ancienne star de TF1 avance désormais, libérée d’un poids : « Évidemment avec Pierre, on a sans doute moins de temps devant nous qu’on en a derrière, mais j’ai appris à vivre au présent. Enfin, c’est à moitié vrai… J’ai moins peur de la mort que de la dégradation, je souhaite qu’elle nous soit épargnée à l’un comme l’autre ».

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