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Albert II : Il lutte en secret contre la maladie !
Au Palais, l’inquiétude se lit sur tous les visages, en particulier sur celui de Charlène, prête à tout pour aider son mari…
Il n’y a pas si longtemps, c’est Charlène qui luttait pour recouvrer la santé, cette fois les rôles sont inversés. Albert serait en danger, et il en va de sa santé. Le sujet pourrait presque faire sourire s’il n’était pas devenu aussi brûlant, car s’il ne réagit pas rapidement, la vie du souverain pourrait être menacée. À 64 ans, il aurait pris trop de poids depuis trop longtemps. Un médecin nous explique :
« À terme, si ce n’est pas déjà le cas, son système immunitaire va s’affaiblir et donc le prince sera plus fragile face aux éventuelles infections. Mais ce n’est pas tout car le surpoids a de fortes conséquences non seulement sur l’organisme mais aussi sur le moral. Ainsi, il peut déclencher une modification hormonale, notamment du cortisol, l’hormone du stress, ce qui va avoir un impact sur la vitalité et le bien-être psychologique. Il y a aussi l’installation d’un déficit de protéines et de micronutriments. Selon certaines études, la surcharge pondérale diminuerait l’activité des lymphocytes NK, qui ont, parmi leurs fonctions, de contrôler et de détruire les cellules cancéreuses. Enfin, c’est bien connu, le risque de problèmes cardiovasculaires, tel un AVC, est accentué par le surpoids tout comme les maladies respiratoires, le diabète ou encore le cholestérol. »
Il y a quelques années, se penchant sur le cas du souverain, le psychologue Franck Dibouës avait relevé ce problème : « Lui qui était mince à 20 ans et qui est nettement en surpoids quarante ans après est l’illustration de la personne qui grossit parce qu’elle est stressée, environnée de bonnes choses à manger, et qui par le passé n’a pas été assez à l’écoute des sensations corporelles liées à la régulation naturelle de sa faim et de son appétit. » Il est vrai que ses fonctions emmènent Albert d’un événement mondain à un autre et qu’à chaque fois la nourriture est présente, en quantité et en qualité. Or, on le sait, c’est un gourmand, au grand dam de son tailleur, Louis Sciolla !
Il aime le chocolat, a un faible pour les fruits confits et les couronnes monégasques de la Chocolaterie de Monaco, fournisseur officiel du palais princier depuis 1920, et se régale des délices de L’Épi d’or, qui approvisionne en boulangerie et viennoiserie le palais. De surcroît, le prince ferait preuve à table d’un coup de fourchette royal ! Voilà comment, à 64 ans, Albert, s’il ne veut pas voir son état de santé décliner, devrait désormais impérativement contrôler son poids et revoir sa façon de s’alimenter. Consciente de l’urgence de la situation, Charlène aurait pris les choses en main. Elle veillerait désormais sur les écarts de son époux et n’hésiterait pas à intervenir quand il se laisse aller.
Elle aurait notamment demandé à Christian Garcia, chef des cuisines du palais, d’alléger les menus. On murmure même que certains spécialistes de la diététique auraient été consultés afin d’établir un régime salvateur. Fin décembre, quand le couple s’est rendu à Miami pour inaugurer le nouveau centre aquatique de Charlène, beaucoup ont été frappés par la silhouette d’Albert. Une transformation pour celui que l’on surnommait jadis « le prince sportif ».
Ceinture noire de judo, il pratiquait l’athlétisme, la natation, le handball, le tennis, l’aviron, la voile, le squash, le ski, l’escrime et a participé à quatre olympiades comme pilote du bobsleigh monégasque ! Quand son emploi du temps le lui permettait, il jouait au football avec les Barbagiuans, équipe composée d’anciennes stars du sport se produisant à des fins caritatives. Tout aurait basculé après le 6 avril 2005. À la mort de Rainier III, Albert n’a plus eu de temps pour lui. Il lui fallait gérer la principauté, qui est à la fois un État et une entreprise colossale. Cela lui a pris tout son temps. Plus question de s’évader, d’aller faire un tennis avec un ami. Il a croulé sous les incessants devoirs liés à sa charge. Ce ventre trop rond n’est pas seulement celui de la gourmandise, c’est celui des responsabilités. Il a pu en faire fi un moment, mais il lui faut maintenant réagir rapidement.
JEAN MARC
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